“Man is free at the instant he wants to be.”
L'homme est libre au moment qu'il veut l'être.
Source Brutus, act II, scene I (1730)
Citas
“Man is free at the instant he wants to be.”
L'homme est libre au moment qu'il veut l'être.
Source Brutus, act II, scene I (1730)
Citas
“All mortals are equal; it is not their birth,
But virtue itself that makes the difference.”
Les mortels sont égaux; ce n'est pas la naissance,
C'est la seule vertu qui fait la différence.
Ériphyle Act II, scene I (1732); these lines were also later used in Voltaire's Mahomet, Act I, scene IV (1741)
Variant translations:
Men are equal; it is not birth, it is virtue alone that makes them differ.
As quoted in Beautiful Thoughts from French and Italian Authors (1866) edited by Craufurd Tait Ramage, p. 363 https://books.google.com/books?id=nDErAAAAYAAJ
Men are equal; it is not birth
But virtue that makes the difference
Citas
La morale est la même chez tous les hommes, donc elle vient de Dieu; le culte est différent, donc il est l’ouvrage des hommes.
"Atheist" (1764)
Citas, Dictionnaire philosophique (1764)
“If God has made us in his image, we have returned him the favor.”
Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu.
Notebooks (c.1735-c.1750)
Citas
Tous les hommes seraient donc nécessairement égaux, s’ils étaient sans besoins. La misère attachée à notre espèce subordonne un homme à un autre homme: ce n’est pas l’inégalité qui est un malheur réel, c’est la dépendance.
"Equality" (1764)
Citas, Dictionnaire philosophique (1764)
"Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer."
Mais toute la nature nous crie qu'il existe; qu'il y a une intelligence suprême, un pouvoir immense, un ordre admirable, et tout nous instruit de notre dépendance.
Voltaire quoting himself in his Letter to Prince Frederick William of Prussia (28 November 1770), translated by S.G. Tallentyre, Voltaire in His Letters (1919)
Citas
Une seule partie de la physique occupe la vie de plusieurs hommes, et les laisse souvent mourir dans l'incertitude.
"A Madame la Marquise du Châtelet, Avant-Propos," Eléments de Philosophie de Newton (1738)
Citas
Le divorce est probablement de la même date à peu près que le mariage. Je crois pourtant que le mariage est de quelques semaines plus ancien.
"Divorce" (1771)
Citas, Questions sur l'Encyclopédie (1770–1774)
"Abuse of Words" http://www.gutenberg.org/files/35621/35621-h/35621-h.htm (1764)
C.f. Locke: "The names of simple ideas are not capable of any definition; the names of all complex ideas are. It has not, that I know, been yet observed by anybody what words are, and what are not, capable of being defined; the want whereof is (as I am apt to think) not seldom the occasion of great wrangling and obscurity in men's discourses, whilst some demand definitions of terms that cannot be defined; and others think they ought not to rest satisfied in an explication made by a more general word, and its restriction, (or to speak in terms of art, by a genus and difference), when, even after such definition, made according to rule, those who hear it have often no more a clear conception of the meaning of the word than they had before."
An Essay Concerning Human Understanding (1689) Book III http://oregonstate.edu/instruct/phl302/texts/locke/locke1/Book3.html, chapter 4
Citas, Dictionnaire philosophique (1764)
“Opinions have caused more ills than the plague or earthquakes on this little globe of ours.”
Les opinions ont plus causé de maux sur ce petit globe que la peste et les tremblements de terre.
Letter to Élie Bertrand (5 January 1759)
Citas
Further account of his conversations with Andrew Pit
The History of the Quakers (1762)
Mais qu’un marchand de chameaux excite une sédition dans sa bourgade; qu’associé à quelques malheureux coracites il leur persuade qu’il s’entretient avec l’ange Gabriel; qu’il se vante d’avoir été ravi au ciel, et d’y avoir reçu une partie de ce livre inintelligible qui fait frémir le sens commun à chaque page; que, pour faire respecter ce livre, il porte dans sa patrie le fer et la flamme; qu’il égorge les pères, qu’il ravisse les filles, qu’il donne aux vaincus le choix de sa religion ou de la mort, c’est assurément ce que nul homme ne peut excuser, à moins qu’il ne soit né Turc, et que la superstition n’étouffe en lui toute lumière naturelle.
Referring to Muhammad, in a letter to Frederick II of Prussia (December 1740), published in Oeuvres complètes de Voltaire, Vol. 7 (1869), edited by Georges Avenel, p. 105
Citas
“A company of solemn tyrants is impervious to all seductions.”
Une compagnie de graves tyrans est inaccessible à toutes les séductions.
"Tyranny" (1764)
Citas, Dictionnaire philosophique (1764)
“Superstition sets the whole world in flames; philosophy quenches them.”
La superstition met le monde entier en flammes; la philosophie les éteint.
Dictionnaire philosophique http://www17.us.archive.org/stream/dictionnairephil08volt/dictionnairephil08volt_djvu.txt (1822), "Superstition"
Citas
“A false science makes atheists, a true science prostrates men before the Deity”
The critical review, or annals of literature, Volume XXVI http://books.google.es/books?id=aItKAAAAcAAJ&printsec=frontcover&hl=es#v=onepage&q&f=false, by A Society of Gentlemen (1768) p. 450
“We should be considerate to the living; to the dead we owe only the truth.”
On doit des égards aux vivants; on ne doit aux morts que la vérité.
Letter to M. de Grenonville (1719)
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“The secret of being a bore is to tell everything.”
Le secret d'ennuyer est celui de tout dire.
"Sixième discours: sur la nature de l'homme," Sept Discours en Vers sur l'Homme (1738)
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“While loving glory so much how can you persist in a plan which will cause you to lose it?”
En aimant tant la gloire, comment pouvez-vous vous obstiner à un projet qui vous la fera perdre?
Letters of Voltaire and Frederick the Great (New York: Brentano's, 1927), transl. Richard Aldington, letter 130 from Voltaire to Frederick II of Prussia, October 1757. http://perso.orange.fr/dboudin/VOLTAIRE/39/1757/3426.html
Citas
Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien.
This attribution to Voltaire appears in Strauss' Familiar Medical Quotations (1968), p. 394, and in publications as early as 1956 http://books.google.pt/books?id=lCtCAQAAIAAJ&q=%22Doctors+are+men+who+prescribe+medicine+of%22&dq=%22Doctors+are+men+who+prescribe+medicine+of%22&hl=pt-PT&sa=X&ei=mbnWUsvDIfTB7Aaw_YD4Dw&redir_esc=y; the quotation in French does not, however, appear to be original, and is probably a relatively modern invention, only quoted in recent (21st century) published works, which attribute it to "Voltaire" without citing any source.
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