“Se dice que el tiempo es un gran maestro; lo malo es que va matando a sus discípulos.”
Fuente: Palomo Triguero, Eduardo. Cita-logía. Editorial Punto Rojo Libros,S.L. ISBN 978-84-16068-10-4. p. 276.
Louis Hector Berlioz fue un compositor francés y figura destacada del romanticismo. Su obra más conocida es la Sinfonía fantástica . Berlioz fue un gran orquestador y la influencia de su música fue extraordinaria.
“Se dice que el tiempo es un gran maestro; lo malo es que va matando a sus discípulos.”
Fuente: Palomo Triguero, Eduardo. Cita-logía. Editorial Punto Rojo Libros,S.L. ISBN 978-84-16068-10-4. p. 276.
Original: «Every composer knows the anguish and despair occasioned by forgetting ideas which one had no time to write down».
Fuente: Steels, Lee. Magic Apples. Editorial Xlibris Corporation, 2014. ISBN 9781499066067. p. 136. https://books.google.es/books?id=3KdpBAAAQBAJ&pg=PA136&dq=Every+composer+knows+the+anguish+and+despair+occasioned+by+forgetting+ideas+which+one+had+no+time+to+write+down&hl=es&sa=X&ved=0ahUKEwishK6w5pvgAhXD1-AKHeA0DHEQ6AEIKDAA#v=onepage&q=Every%20composer%20knows%20the%20anguish%20and%20despair%20occasioned%20by%20forgetting%20ideas%20which%20one%20had%20no%20time%20to%20write%20down&f=false
“Tienes que recoger las piedras que te lanzan. Es el comienzo de un pedestal.”
original: «Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal».
Fuente: Collard, Gilbert. L'avocat de l'impossible. Editorial edi8, 2010. ISBN 9782258084285. https://books.google.es/books?id=1CpL0MZSTj8C&pg=PT83&dq=Il+faut+collectionner+les+pierres+qu%27on+vous+jette.+C%27est+le+d%C3%A9but+d%27un+pi%C3%A9destal&hl=es&sa=X&ved=0ahUKEwiYlbKc55vgAhVC1-AKHQEhDXQQ6AEIKDAA#v=onepage&q=Il%20faut%20collectionner%20les%20pierres%20qu'on%20vous%20jette.%20C'est%20le%20d%C3%A9but%20d'un%20pi%C3%A9destal&f=false
“Los sujetos apasionados deben ser tratados con sangre fría.”
Original: «Passionate subjects must be dealt with in cold blood».
Fuente: The literary clef: an anthology of letters and writings by French composers. Autor, editor y traductor Edward Lockspeiser. Editorial J. Calder, 1958. p. 25.
“La suerte de tener talento no es suficiente; También hay que tener talento para la suerte.”
Original: «The luck of having talent is not enough; one must also have a talent for luck».
Fuente: Vaishnav, Harmik. Dictionary of Humourous Quotations. Editorial Prabhat Prakashan. ISBN 9789351868187. p. 78. https://books.google.es/books?id=f0KbDAAAQBAJ&pg=PA78&dq=The+luck+of+having+talent+is+not+enough;+one+must+also+have+a+talent+for+luck&hl=es&sa=X&ved=0ahUKEwiB0Oax5ZvgAhUOmhQKHVacCdsQ6AEIODAC#v=onepage&q=The%20luck%20of%20having%20talent%20is%20not%20enough%3B%20one%20must%20also%20have%20a%20talent%20for%20luck&f=false
Original: «Love cannot express the idea of music, while music may give an idea of love».
Fuente: Gordon, Stewart. Planning Your Piano Success: A Blueprint for Aspiring Musicians. Edición anotada. Editorial OUP USA, 2014. ISBN 9780199942442. p. 6. https://books.google.es/books?id=XM0TAgAAQBAJ&pg=PA6&dq=Love+cannot+express+the+idea+of+music,+while+music+may+give+an+idea+of+love&hl=es&sa=X&ved=0ahUKEwju4q-i6JvgAhVpA2MBHWukBqUQ6AEIKDAA#v=onepage&q=Love%20cannot%20express%20the%20idea%20of%20music%2C%20while%20music%20may%20give%20an%20idea%20of%20love&f=false
“Time is a great teacher, but unfortunately it kills all its pupils.”
Le temps est un grand maître, dit-on; le malheur est qu'il soit un maître inhumain qui tue ses élèves.
Letter written in November 1856, published in Pierre Citron (ed.) Correspondance générale (Paris: Flammarion, 1989) vol. 5, p. 390; Paul Davies About Time: Einstein’s Unfinished Revolution (New York: Simon & Schuster, 1996) p. 214.
Vous me priez de vous dire…S'il est vrai que l'acte de foi de tout ce qui prétend aimer l'art élevé et sérieux soit celui-ci : "Il n'y a pas d'autre Dieu que Bach, et Mendelssohn est son prophète"?
"Premier Voyage en Allemagne", Quatrième lettre, p. 285
Mémoires (1870)
Un chanteur ou une cantatrice capable de chanter seize mesures seulement de bonne musique avec une voix naturelle, bien posée, sympathique, et de les chanter sans efforts, sans écarteler la phrase, sans exagérer jusqu'à la charge les accents, sans platitude, sans afféterie, sans mièvreries, sans fautes de français, sans liaisons dangereuses, sans hiatus, sans insolentes modifications du texte, sans transposition, sans hoquets, sans aboiements, sans chevrotements, sans intonations fausses, sans faire boiter le rhythme, sans ridicules ornements, sans nauséabondes appogiatures, de manière enfin que la période écrite par le compositeur devienne compréhensible, et reste tout simplement ce qu'il l'a faite, est un oiseau rare, très-rare, excessivement rare.
À travers chants, ch. 8 http://www.hberlioz.com/Writings/ATC08.htm; Elizabeth Csicsery-Rónay (trans.) The Art of Music and Other Essays (Bloomington: Indiana University Press, 1994) p. 69.
“Instrumentation is to music precisely what color is to painting.”
Cette face de l’instrumentation est exactement, en musique, ce que le coloris est en peinture.
A travers chants (1862), ch. 1 http://www.hberlioz.com/Writings/ATC01.htm; Elizabeth Csicsery-Rónay (trans.) The Art of Music and Other Essays (Bloomington: Indiana University Press, 1994) p. 5.
Pauvres diables!... D'où sortent ces malheureux êtres ?... À quel Montfaucon vont-ils mourir ?... Que leur octroie la munificence municipale pour nettoyer (ou salir) ainsi le pavé de Paris ?... À quel âge les envoie-t-on à l'équarrissage ?... Que fait-on de leurs os ? (leur peau n'est bonne à rien.)
Les Grotesques de la Musique (Paris: A. Bourdilliat, 1859) p. 89; Alastair Bruce (trans.) The Musical Madhouse (Rochester, NY: University of Rochester Press, 2003) pp. 54-56.
Of critics
C'est la vraie voix féminine de l'orchestre, voix passionnée et chaste en même temps, déchirante et douce, qui pleure et crie et se lamente, ou chante et prie et rêve, ou éclate en accents joyeux, comme nulle autre pourrait le faire.
Grand Traité d'Instrumentation et d'Orchestration Modernes (1844) http://www.hberlioz.com/Scores/BerliozTraite.html#Violon; Mary Cowden Clarke (trans.) A Treatise upon Modern Instrumentation and Orchestration (London: J. Alfred Novello, 1856) p. 25.
Of the violin.
Shakespeare, en tombant ainsi sur moi à l'improviste, me foudroya. Son éclair, en m'ouvrant le ciel de l'art avec un fracas sublime, m'en illumina les plus lointaines profondeurs. Je reconnus la vraie grandeur, la vraie beauté, la vraie vérité dramatiques.
Fuente: Mémoires (1870), Ch. 18, p. 66
L'auteur de ce Prophète a non seulement le bonheur d'avoir du talent, mais aussi le talent d'avoir du bonheur.
Les soirées de l'orchestre (1852), ch. 5 http://www.hberlioz.com/Writings/SO05.htm; Jacques Barzun (trans.) Evenings with the Orchestra (Chicago: University of Chicago Press, 1999) p. 62.
Je ne puis m'empêcher de rendre grâces au hasard qui m'a mis dans la nécessité de parvenir à composer silencieusement et librement, en me garantissant ainsi de la tyrannie des habitudes des doigts, si dangereuses pour la pensée.
On being unable to master the piano.
Fuente: Mémoires (1870), Ch. 4, p. 14